À l’heure où le parti de Marine Le Pen concentre ses efforts pour remporter aux prochaines élections municipales le plus de villes possible, retour sur trois exemples de gestion par le Front national sur le mode : « Ils l’ont voulu, ils l’ont eu. »
De 1995 à 2001, Jean-Marie Le Chevallier, élu du Front national, administre la ville de Toulon. Contrairement à Vitrolles qui s’est imposée comme un laboratoire idéologique, la gestion de Toulon se distingue par l’impossibilité pure et simple d’appliquer le programme annoncé par le FN.